Les
contrepèteries du Canard Enchaîné et de ses lecteurs
Les réponses
07/09/2005
MAUVAIS GOÛT À LA BAULE
Avec de vieux beaux sans grandeur
Alors que l'amiral Chirac a des problèmes de vaisseau, le poète grisé à La Baule clame : «Ah ! c'est Cinna qui exalta ce lieu ! » Lamour demande des buts à Cissé, et Robien, des facs dans la Bresse. Borloo se fait pompeux devant des chômeurs radiés et Sarko goûte des herbes près de son car chaud.
LECTEURS. - « Sarko pique des flûtes. » Des flûtes appâtées aux beaux solos comme des pétales ? - « Benoît a besoin de calotins pour soigner ses ca_ries. » Des calotins sa_pés ? - « Des intégristes trissent à La Mecque. » La Mecque attire des souillons ? - « Bernie expulse un chapelain de Colombey.»
LECTEURS (suite). - « Des dealeuses devant le bar bradent leur shit. » Saturées de shit, elles flambent. -Titres : « Cap sur les Pouilles ». Vers les populations de la Castille ? « Cotation par le fonds des rentes ». On doit être bien fêlé après pareille cotation ! Accroissons nos parts dans les fonds !
14/09/2005
COMMUNIQUÉ DES GRANDS
Le Président a vu le pain et goûte son anis
Bernie parle de problèmes de vis_on en caressant un piaf. Privé d'action mais pas de sève, Jacques choisit des dates en rêvant de nouvelles rétines, d'une purge de vaisseau et de jeunes filles à nattes pour le plaisir des yeux. Mais il redoute que ses cent jours à Matignon n'aient rendu Dominique éculé.
LECTEURS. - « On voit l'astuce de Cécilia qui fait des siennes... Nicolas maigri reste _accro : elle est cotée, il est cossu. » Emprunte-t-elle la piste de Nicolas en faisant des siennes ? - « Chirac entend pester son Dominique. » On ouït : « Quelle peste, Céline ! » - Pub touchée : « Génisse de Pâques ». Gare au pet de génisse.
LECTEURS (suite). - Le Pen : «Mon Bompard ne séduisait plus ! Ce Bompard se prenait pour un dieu »
« Mon ami sent la vendange, évite le soda dans son kir et goûte un médoc à Poitiers. » Le caneton, dont l'ami sent le vin, s'inquiète de la venue de son kir et sait qu'un médoc ne va avec aucune poule.
21/09/2005
L'AVEU QUE MEPRISENT LES CAJUNS
et : la bile de duettistes ni sûrs ni sans duels
Ce président Bush, qui préfère l'élite, nie qu'il laisse des prolos sur la _route où ont traîné trop de cubis, cubis que transportent les eaux_. Mais il a t_iqué sur les crues et vu voler de pauvres Cajuns. A l'ONU, Villepin, sûrement racé, brocarde « le cabot connu, petit brouillon manquant de chic ».
LECTEURS. - « Pie VI n'a jamais attrapé de soldat. » Or il a écarté des Suisses en exigeant «Le Conclave !» et demandé des patrouilles en empoignant une pique. - « Marrons avec leurs diesels, des bouchers déchargent leur bidoche sur des belles routes et remarquent des belles droguées. » Histoire de bovins et de shit.
FRANCE INFO (17/9). - « Schrôder n'est jamais aussi grand que lorsqu'il est acculé. » Gerhard, acculé par une grosse tempête, n'a pas cédé sans causer de Merkel, mais il constate que les assauts contre son SPD sont peu _passés. Pourtant, des Verts l'ont traité de bleu en lui proposant leur shit...
28/09/2005
PEU DE MARRADES AVANT L'ÉLECTION
Des candidats se visent dans leurs débats
Des caciques confient qu'ils doutent, en bouffant : ils doutent des femmes. Dominique a privé sa MAM de dînette et ne sait où la nicher car elle n'a plus d'email*. François écarte sa compagne Royal pour ses luttes. Elections côté anar : Arliette traîne en repoussant le jeune facteur guère utile aux Postes.
* On prononce « hymèl ».
LECTEURS. - « Marianne » (10/9) : « Ils n'ont plus le droit de montrer leurs faces à la messe ! » - « Bernie a vu des colloques devant l'hostie car il y avait le pain de vie. » On a vu que Chirac avait des qualités devant l'hosto. Bernie a préféré sa tête de veau à l'hostie. - « Ce fou assassine dans les pins ! » Avec la pin_ède, on en parle.
LECTEURS (suite). - « Les jolies Corses sont gâtées. Avec ou sans processus, elles durent. Sarko s'en va guérir des clans même si l'on prouve qu'ils tuent ! » Il distingue les clans des gueux. - « Maître, vous avez Paule et Karine. » Cette Paule s'affine ? -« Lully aimait les solos. » Et les choristes, les solos des leurs.