Les contrepèteries du Canard Enchaîné et de ses lecteurs
Les réponses

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07/12/2005
VERS UNE FRANCE HISTORIQUEMENT FÂCHÉE ?
Suite : les relents vichystes d'un petit fat
Le petit cabot qui s'est fait un nom en usant de mots sinistres provoque, avant la poussée des votes, les cris des militants qu'il abuse. On reconnaît sa patte avec ces primaires ! Vautré dans l'ethnique, il rompt avec ce « philosophe » haineux courant après les prix, qui déraille tant qu'on ne le coupe pas.

LECTEURS. -«Les sarkozystes invaincus montrent leurs cibles. Chirac sera visé après la messe. » Ils ciblent les consensus en dépit de messes valeureuses. - « On peut faire une thèse sur une bombe. » Sauf s'il y a une bombe dans le car. - «La danse des trams : le maire godiche s'en lave les mains. » Et l'arrière du dépôt ?

BREVES. -Juppé va-t-il revenir avec le goût des blanquettes de Québec et celui d'écrire des gags dans les blogs ? - Le chirurgien qui a greffé une face est à la messe. Ses confrères parlent d'éth_ique et l'accusent d'être avide de braise. - La Comtesse a dîné avec une marchande de pigeons, sans auteur de bide.

14/12/2005
LES RELENTS VICHYSTES D'UN PETIT FAT (2)
Il accroche un Villiers trépidant et Le Pen
Placide face aux foules qui le disent falot et peu branché, le petit censeur aux redoutables vues, qui lia une journaliste sans reconnaître : « C'est cynique ! », fait cesser les teufs qu'il pense mater (les CRS réservent leurs coups à ces teufs), dorlote de vieux colons qui s'en fichent et tourne au calotin bêcheur.

LECTEURS. - « Sarko renonce à présenter son job aux Antilles. » C'est le job d'un petit raseur. - « Miss France : cette élection l'a rendue très auréolée ! » Les miss chantent ? - « Des amatrices de piquette ont encore phrasé ! » Un viticulteur frisé proposait sa piquette. Ne parlez pas de piquette aux amateurs de rap.

BRÈVES. - Ouï aux urgences : « J'ai coché Sardou : quel minois chenu ! » ; « Je n'ai jamais vu de belles toux ! » et : « Il a dû coincer cette biche sous son carter ! » - Cure de potins. Sharon dorlote la gauche des colons. Gabon : ce bon gars sent le Coca. Villepin, quelle chance, et Sarko, quel culot !

21/12/2005
LES UNS SONT FASCINANTS...
Pasqua : « Et les z'ôtres iront jusqu'au bout ! »
Une UMP (ce n'est ni un faucon bourré ni une Boutin qu'on voit décalée) : « Si Villiers est fascinant quand il cherche le pèze, fascinant et avisé, Sarko est fascinant et paisible. Il est fascinant quand il parle, aux infos. Il nous fascine dès qu'il parle de baisses et d'écoles privées de fonds. » Serait-il miné par le pèze ?

LECTEURS. - « Le général Poncet Henri : il désirait qu'on le fête au mess. » Il est _tendu depuis qu'on l'a démis. -« Bayrou, fêlé, ne prône plus la modération. » Mais fait subir son infime verbe à Gilles. - Douste : « Les poils de ce baudet sont lisses. » Il a peiné, ce Blazy ? -« Usé, le blanc de la guêpière. » Un blanc grisé?

LECTEUR. - « Celles qui tapissent sont réunies. » BREVES. - « Luttes au soleil : Sarko apeuré. Il a parlé des DOM sans art et sans ZEP au moment de dîner. Flattant de vieux colons fachos, ce petit sec avoue qu'il rêve de Massilia. » - PAC minée : « Triste Merkel quand Chirac cède ! » - De Luc Etienne : « C'est une sacrée bête, un faucon !»

28/12/2005
BASSES FÊTES ET SAPIN POUR DES SECTES
Certaines rêvent du « grand Nice des pénombres »
Le gel fait canner des pilleurs et les pharmaciens entassent leurs fioles. Un fêtard, qui adore les basses et rit, l'air bouché, donne un guide à de grosses moches. Des élus sectaires aux tristes cotes glosent en soutenant leurs clans : « Nicolas sent futile leur Villepin ! » et : « Ségolène entame une dure lutte, elle a tort ! »

LECTEURS. - « Chirac racé adore les fêtes et une Madelon lui tend ses étrennes. » Proposant des fêtes soutenues, Bernie fait un sapin raté. -« Sarko a le don de déraper sur les étrangers. » Des railleurs le coupent. - « Banque postale. » - Ecartées par de gros dépôts de fafs, les petites lettres font place aux ventes.

LECTEURS. - « Les menus annoncent les liqueurs, mais on présente la mangue et les belles lichent. » Les belles lichent, se mutinent et les liqueurs sont bienvenues. - Brèves. Note de Bercy : « Le ministre refuse l'appellation de "fafs" ! » Mais il flèche les _rôdeurs et les clochardes habitant de vieilles tires.